Charles-André : On vole, hé hé, on vole !
Alphonse : Nous ne volons pas mon brave, nous planons !
C : On est là pour s'éclater et tu me prends encore la tête.
A : Plaît-il ?
C : Père, nous sommes ici pour nous relaxer, comme à chaque sortie dominical. Pourrions-nous pour une fois être cool ?
A : Cool !? Certes. Pourquoi me faîtes-vous le coup de l'adolescent écervelé sous adrénaline à chaque fois ?
C : Peut-être pour oublier que mon père est un gros con.
A : Plaît-il ? Puis-je apprécier notre saut en parachute à sa juste valeur ?
C : Oui ! Concentrons-nous père. Nous sommes à mi-chemin et bientôt nous devrons ouvrir nos parachutes.
A : Certes, j'ai hâte d'utiliser le dernier modèle de la marque Parachutix. Il me semble très fiable et très robuste.
C : D'ailleurs, c'est le moment de l'ouvrir.
Charles-André tire sur la manette et rien ne se passe.
C : Ah ! Mon parachute ne s'ouvre pas ! Bon Dieu !
A : Diantre, ce n'est vraiment pas de chance, toutefois, restez poli et tentez le parachute de secours, mon pauvre.
Charles-André tire sur la manette du parachute de secours et toujours rien.
C : Ah ! Rien nous plus, je vais crever, je vais crever !
A : Diantre, gardez un peu de dignité. J'aurais bien voulu vous aider mais cela fait 20 ans que vous m'offusquer. A tel point que j'en en peux plus, je préfère donc vous laisser vous écraser. Adieu !
Alphonse tire lui aussi sur la manette et pas de parachute non plus.
A : Pas très performant ce matériel de chez Parachutix. A moins que...Avez-vous aussi saboté mes parachutes ?
C : Oui !
A : Espèce de petit con ! Au final, vous êtes bien le fils de votre père.
G et A filent vers le sol à toute vitesse...
Conclusion : Toujours avoir un 3ème parachute bien caché si vous ne vous entendez pas avec votre famille.
Alphonse : Nous ne volons pas mon brave, nous planons !
C : On est là pour s'éclater et tu me prends encore la tête.
A : Plaît-il ?
C : Père, nous sommes ici pour nous relaxer, comme à chaque sortie dominical. Pourrions-nous pour une fois être cool ?
A : Cool !? Certes. Pourquoi me faîtes-vous le coup de l'adolescent écervelé sous adrénaline à chaque fois ?
C : Peut-être pour oublier que mon père est un gros con.
A : Plaît-il ? Puis-je apprécier notre saut en parachute à sa juste valeur ?
C : Oui ! Concentrons-nous père. Nous sommes à mi-chemin et bientôt nous devrons ouvrir nos parachutes.
A : Certes, j'ai hâte d'utiliser le dernier modèle de la marque Parachutix. Il me semble très fiable et très robuste.
C : D'ailleurs, c'est le moment de l'ouvrir.
Charles-André tire sur la manette et rien ne se passe.
C : Ah ! Mon parachute ne s'ouvre pas ! Bon Dieu !
A : Diantre, ce n'est vraiment pas de chance, toutefois, restez poli et tentez le parachute de secours, mon pauvre.
Charles-André tire sur la manette du parachute de secours et toujours rien.
C : Ah ! Rien nous plus, je vais crever, je vais crever !
A : Diantre, gardez un peu de dignité. J'aurais bien voulu vous aider mais cela fait 20 ans que vous m'offusquer. A tel point que j'en en peux plus, je préfère donc vous laisser vous écraser. Adieu !
Alphonse tire lui aussi sur la manette et pas de parachute non plus.
A : Pas très performant ce matériel de chez Parachutix. A moins que...Avez-vous aussi saboté mes parachutes ?
C : Oui !
A : Espèce de petit con ! Au final, vous êtes bien le fils de votre père.
G et A filent vers le sol à toute vitesse...
Conclusion : Toujours avoir un 3ème parachute bien caché si vous ne vous entendez pas avec votre famille.
Oh vraiment trop bon j'adore !
RépondreSupprimerJe l'ai écrit avec ma camisole de force comme un grand !
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