Everybody loves Wolfy

Léo et Gérard discute paisiblement dans la superbe château de ma grand mère hahahahaha...

G: J'étais là, j'étais pas bourré, je le jure !

L: Oui, oui, toi tu ne fais jamais rien, toi tu ne dis jamais rien mais au final, c'est toujours l'apocalypse ! Explique-moi comment tu fais ?

G: Léo, si tu dois me croire une fois dans ta vie. C'est aujourd'hui ! Là maintenant ! On va crever, on va crever comme des rats, je te dis !

L: Wooww woww du calme, je sais très bien que Mossieur ne veut pas voir Karen sortir avec moi. Mais c'est comme ça mon vieux. Elle m'a choisi moi et pas toi, c'est tout, sois bon joueur pour une fois, merde à la fin! Je t'héberge chez moi depuis un certain, je te paie même des vacances dans un château et tu viens encore me mettre des bâtons dans les roues. Tu veux me tuer en fait? C'est ça? Dieu t'as remis une mission, il t'a dit: "Mon gros gégé, pour une fois dans ta vie, fais un truc bien, tue cet enfoiré de huissier dénommé Léo Matuzzi"

G: Léo, j'ai vu un truc je te dis. Enormeee, vraiment enormeeeee. Un genre de...comment dire...une gigan...HAAAAAAAAAA

L: Mon Dieu c'est quoi ce truc !? Cours, cours gros, tu vas te faire dévorer. Mais qu'est-ce-que tu fous !

G: Je cours là mais je cours !

L:  Je t'avais dit d'arrêter de manger du lard, gros lard ! Tu te fous de moi, t'avances pas, il te rattrape....

G: HAAAAAAAAAAAAA

L: Oh mon Dieu, gégé !

Grumpf Grumpf, un bruit horrible, horrible! Oui, que j'aime ce bruit, bien joué ma créature .Il y avait beaucoup de chair sur celui-là. Je me rappelle t'avoir découverte quand tu étais encore toute petite dans le grenier de mamie. Je t'ai élevé Wolfy, tu m'as tellement offert en échange. Un spécimen unique, éteint depuis des millénaires, à mon service. Et quel spécimen! : environ 2M50, peau écailleuse verte, absence de pupilles et de paupières (globes oculaires rouge vif), crocs saillants, crête osseuse partant du haut du crâne jusqu'au bas du dos, pieds palmés, griffes surdimenssionnées, rapide et puissant il déchiquète facilement ses proies. Doté d'une certain intelligence, je peux aisément communiquer avec lui.

Je t'aime Wolfy, tu m'apportes tellement. Allez, va tuer le second, amuse-toi avec et amuse-moi en même temps.

Wolfy: Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

Léo s'est réfugié dans les toilettes du château.

L: Fait chier ! Pourquoi ça m'arrive à moi ? Qu'ai-je fait ? Hein seigneur ! Toutes les merdes sont toujours pour moi. OK j'ai pas toujours été un modèle mais bon, tu peux quand même pas me tuer comme ça, dans les chiottes en plus.

Bam...bam...bam Wolfy défonce petit à petit la porte....grrrrr......grrrrrrrrrrrrr.......

L: Ne sois pas défaitiste, allez, on se réveille, il y a moyen d'avoir cette créature.

Léo attrape le désodorisant et sors son briquet. Il tente un lance-flamme improvisé et dit: "Tu vas crever saloperie, oh que oui, je vais te crever sale raclure"

La bête défonce la porte, elle se jette à la gorge de Léo. Il bat le briquet et appuie sur la gâchette du désodorisant....mais...mais....la bouteille est vide, vide!

L: Haaaaaaaaaaaa...la poisse jusqu'au bout.....pourquoiiiiiiiiiiiiii....pourquoiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!

Wolfy: Grumpfffff grumpf (le gout n'est pas terrible) grumpf grumpf


"Wolfy hates everybody except me" grumpf grumpf



1 commentaire:

Attention à toi, les écureuils qui disent des conneries. Je les bouffe comme des chips bien croquants !