Qu'il est facile de s'attaquer à une proie toute désignée.
Qu'il est facile de lancer des pics, des blagues sordides, des jeux de mots à l'encontre d'un personnage médiatique en pleine descente aux enfers.
Pour faire rire votre assemblée de décérébrés nourrie de publicités en tout genre. Vous vous appuyez à pleines mains sur la tête d'une personne au fond du trou.
Pas de panique. Quoi qu'on le fasse, on a toujours un publique.
Oui.
Vos décérébrés réutiliseront vos héroïques interventions dans leur microcosme. Cela leur donnera l'illusion d'être grand.
Un peu comme vous.
Vous, qui êtes prêt à tout pour faire rire votre assemblée et booster votre carrière.
Vous, qui êtes plutôt prêt du rien.
De telles attaques reviennent à écraser un insecte virtuel à moitié groggy par de l'insecticide.
Vous me faîtes penser à un amas d'asticots dévorant de la viande putréfiée. Dévorant un être mort, vous grandissez grâce à sa chair putréfiée.
Ô oui, la personne visée a peut-être commis des actes odieux.
Ô que oui, vous l'êtes, vous ! Parfait !
Aussi parfaites que sont vos viles apparitions médiatiques à l'odeur d'acides gastriques.
Ô oui, je sais, tout le monde le fait.
Ô oui, je sais, il vous faut de la visibilité.
Ô oui, je sais, il vous faut être buzzer.
Ô oui, je sais, le pognon vous voulez le voir tomber.
Dans ton canapé. Devant la TV.
Aux heures de grande écoute. Rejoins les égouts du dégout.
Crache avec eux dans la soupe de la déroute.
Pour qu'enfin, "la gloire" t'enlace de ses bras visqueux.
Pour qu'enfin, tu deviennes comme eux.
Qu'il est facile de lancer des pics, des blagues sordides, des jeux de mots à l'encontre d'un personnage médiatique en pleine descente aux enfers.
Pour faire rire votre assemblée de décérébrés nourrie de publicités en tout genre. Vous vous appuyez à pleines mains sur la tête d'une personne au fond du trou.
Pas de panique. Quoi qu'on le fasse, on a toujours un publique.
Oui.
Vos décérébrés réutiliseront vos héroïques interventions dans leur microcosme. Cela leur donnera l'illusion d'être grand.
Un peu comme vous.
Vous, qui êtes prêt à tout pour faire rire votre assemblée et booster votre carrière.
Vous, qui êtes plutôt prêt du rien.
De telles attaques reviennent à écraser un insecte virtuel à moitié groggy par de l'insecticide.
Vous me faîtes penser à un amas d'asticots dévorant de la viande putréfiée. Dévorant un être mort, vous grandissez grâce à sa chair putréfiée.
Ô oui, la personne visée a peut-être commis des actes odieux.
Ô que oui, vous l'êtes, vous ! Parfait !
Aussi parfaites que sont vos viles apparitions médiatiques à l'odeur d'acides gastriques.
Ô oui, je sais, tout le monde le fait.
Ô oui, je sais, il vous faut de la visibilité.
Ô oui, je sais, il vous faut être buzzer.
Ô oui, je sais, le pognon vous voulez le voir tomber.
Dans ton canapé. Devant la TV.
Aux heures de grande écoute. Rejoins les égouts du dégout.
Crache avec eux dans la soupe de la déroute.
Pour qu'enfin, "la gloire" t'enlace de ses bras visqueux.
Pour qu'enfin, tu deviennes comme eux.
Le Montishow est-il devenu un être de rancœur au point de ne créer que des textes de vandales ? Serait-il devenu ce genre d'individu aigris. Non. Enfin, pas entièrement, je te rassure. La suite arrive bientôt avec l'épopée médicale ou un autre putain de truc de merde.
Enflurement tienne, le Montishow
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Attention à toi, les écureuils qui disent des conneries. Je les bouffe comme des chips bien croquants !