Quitte ou double. Tu passeras pas le chemin, mec

Un type m'a coupé la route, il était entrain d'utiliser cette engin téléphonique de malheur. C'était ce genre de gars huppé qui se prend pour le king avec ses lunettes de soleil de marque et sa minuscule voiture qui n'a d'anglaise que la marque. Je lui fis un doigt d'honneur avec grande volupté rageuse.

Cependant, il n'avait pas l'air d'avoir saisi mon désenchantement face à son cuistre comportement. Il continuait à téléphoner. J'ai donc accéléré pour lui rentrer dedans. Ma voiture étant une veille boite de conserve, j'y parvins avec beaucoup de mal.

Une fois mon acte accompli. Il sortit de sa voiture en chialant :

- Ça va pas, ma nouvelle voiture. Ta poubelle a englouti ma nouvelle voiture sportive de haut-niveau.

Je lui répondis.

- C'est pas fini, mec !

Je lui mis un coup de tête. Son GSM tomba au sol. Le nez explosé, il chiala comme une madeleine au beurre. Je lui fis une morale d'enfer.


- Mec, t'avais qu'à acheter un kit mains libres. 

A quatre pattes, le nez rouge clown. Il répondit.

- Mais....j'ai un kit main libre. Un sans fil. Regardez.

 Il me montra l'appareil microscopique enfoncé dans son oreille gauche. J'approchais ma bouche de son organe d'éléphant pour lui dire.

- Essaie pas de me la faire. T'es qu'un putain de sourd, mec. Un putain de clown sourd !

Finalement, je ramassa l'appareil, pour me sauver le torse bombé comme un héros. Lui, restait au sol. Moi, je virevoltais. 

Grâce à la revente de ce bijou technologique tirés à des millions d'exemplaires. J'ai pu me payer 1 mois de bouffe.

C'était super cool, mec !!!


La technologie, ça a du bon, pour sûr ça. 


Les 10 raisons de subir la crise économique

Face à la crise, ça chiale, ça chiale et ça chiale. Il n'y a pas un seul jour où l'on n'aborde pas le sujet. T'es peut-être fauché, tu bosses peut-être comme un dingue pour commencer les débuts de mois en négatif.

Reste positif ! Dis-toi que les chinois ouvriers et les clochards sont pires que toi.

Ouais, la dépression économique a du bon. Je me suis retroussé les manches pour faire face au grave problème de la crise. Après une heure d'étude très poussée...

Voici, les 10 raisons de subir la crise économique dans la joie et la bonne humeur :

1° Fini la tentation et le gaspillage. Maintenant que t'es fauché. Soit t'achètes pas, soit tu voles et tu risques de te faire gauler. Il sera nettement plus facile de gérer ton budget.


2° Mets ta capuche pour récupérer avec style la nourriture jetée par les supermarchés. Mais attention ! Tu devras ne pas trop en consommer car l'eau de javel aspergée sur les aliments par les gentils employés, pourrait te trouer l'estomac. Ce qui impliquerait une mort certaine vu que tu n'as pas d'argent pour te faire soigner.

3° Adopte le style Mad-Max. La hausse du prix des énergies te forcera à combattre tout les vilains méchants fauchés qui n'auront plus le moyen de se payer quoi que ce soit. Vous vous entretuerez comme des hyènes pour avoir un peu de pétrole. Les riches eux rigoleront bien de tout cela. Postés sur leurs îles paradisiaques, ils se foutront bien de ta gueule.


4° Oublie les frais de banque et autres conneries d'assurances. 0 euros et 0 problèmes. Plus de vol d'argent par quelquonques établissement pompeurs de fric. Te voilà enfin libéré de l'emprise des factures.

5° Maigris à vue d'œil. Le manque de nourriture te donnera une silhouette svelte que bien des habitants des pays émergents t'envieront. Tu pourras même te lancer dans les courses de fond. Ce serait bien la première fois qu'un Européen gagne ce type de course.

6° Pour une fois, tu seras fan des "Enfoirés". Tu les regarderas à travers une vitrine de magasin de télévision en versant des larmes de joie. Cependant, n'oublie pas qu'ils font avant tout leur pub. Avant ça te choquait, maintenant t'as plus l'énergie pour y réfléchir.


7° Apprends que la définition de l'argent ne fait pas le bonheur est vraie ! Que si t'as pas d'argent, ta santé fout le camps aussi. Tu haïras avec force tout ces connards qui disent le contraire. Surtout que eux bouffent une fois par jour. Tandis que toi c'est une fois semaine.


8° Avec surprise, tu verras que oui, la lèpre est la nouvelle maladie IN. Fini le sida, la nouvelle épidémie tueuse sera la lèpre. Bio oblige, les parties de corps mortes seront recyclées par les rats. En temps de crise, on ne gâche rien !



La crise te poussant dans tes derniers retranchements, lesquels laissent déjà envisager ce à quoi pourrait ressembler ton existence plus que précaire de criminel dilettant puisqu'il t'arrive parfois de grappiller dans les magasins, le ventre vide mais la tête en maraude, tu replonges dans ton vécu de téléphage, tu t'improvises créateur et scénariste, et tu te lances courageusement dans le recyclage de ces concepts débiles ayant fait le bonheur des amateurs décérébrés de télé-réalité.

Et soudainement te voilà, nabab en devenir, qui ose défoncer les portes des maisons de production pour leur proposer à fort prix ton concept tellement en symbiose avec l'air du temps : " Va-nu-pieds Académie" ; une émission volontairement sordide où vingt concurrents désargentés, de préférence des hommes et des femmes ayant connu l'éther des hauteurs avant les affres de la chute sociale, doivent se débrouiller pour survivre dans les rues abjectes d'une favela brésilienne ou d'une banlieue parisienne. Susceptible d'émouvoir l'audimat par son respect de la loi de la jungle, la finale mettrait en vedette un quatuor de survivants, lesquels devraient lutter à mort dans une arène électrifiée pour se mériter la récompense ultime : un poste de haut gestionnaire bien payé chez France Telecom, avec suicide à la carte !  


(Comme tu l'as remarqué, ce point d'une très grande qualité est d'une longueur incommensurable. A lui seul, il fait tout mon blog. Il n'est évidemment pas de moi. Je l'ai fait sous-traité par l'un de ces accros du net et de toutes ses perversions. Cher sous-traiteur bénévole. Tu pourrais pas te bouger plus le cul ? Faut que tu m'écrives un bouquin, mes doigts sont trop engourdis pour que j'y parvienne. Si j'arrive à emballer une nana grâce ma future grande renommée internationale, je te ferais croquer. Merci.)
 

10° pas pour tout de suite. J'ai la flemme. Je suis pas un pro. Ça me permet de publier du travail bâclé tout en le revendiquant avec honnêteté.

En attendant que je trouve. Ici, tu as un florilège de mes listes commerciales. Celles-ci ont pour but de faire venir un max de personnes sur mon blog. Ce qui au final ne sert à rien....j'en conviens.

Les 10 raisons de regarder TF1
Les 10 raison de lire le Montishow
Les 10 raisons d'élire le Montishow comme président
Page Officielle du Montishow où tu peux dire tout plein de conneries (être toi-même) sans être jugé.


Je suis allé voir Twilight 5

A la base, Tintin était le premier et le dernier compte-rendu bordélique de ma vie de journaliste merdique. Enfin, ça aurait dû l'être. Je commençais à peine à maitriser les premiers gestes de nouveau boulot de tisseur de cuissardes 100 % pure laine montagnarde jusqu'à ce que, ce sanguinolent, ce rustre, ce palefrenier perfide de Flitkov m'interrompit en criant. 

- TOI AVOIR SIGNE POUR DEUX COMPTE RENDUS, DEUX ! TOI FAIRE OU MOI RECOUDRE TES ORIFICES AVEC BARBELÉS.

Étant concentré, je sursautas devant cette surprenante interruption et me transperça la main avec une aiguille géante. Je hurlais de douleur. Flitkvov, lui, hurlait de rire. Il brandit une feuille de papier et dit. 

- CA ETRE LE CONTRAT QUE TOI AVOIR SIGNE. 

Je rétorquas dans la douleur.

- Vous faîtes erreur. Je n'ai rien signé. Regardez ma main. Je saigne. Ça pisse le sang, regardez. Appelons une ambulance.




 Il se gratta le menton avec un décapsuleur préalablement sorti de sa poche et dit.

- PAS GRAVE CA ETRE. TOI ALLER OU MOI DECAPSULER TES YEUX COMME BOUCHONS DE BOUTEILLES DE BIERE. ALORS ?

Je fis un signe positif de la tête.

Je m'appelle
Zakmir Pusinko. Je suis allé visionné Twilight 5 en avant-première. 

Voici le compte-rendu :

Nous arrivons près du lieu tant redouté. Je peux déjà apercevoir les files de gamines hystériques. Incroyable, les cris stridents se font déjà entendre. Nous sommes à environ 500 mètres. Les fenêtres sont fermées. On se croirait dans un stade remplies de naines. Là, un évènement attire mon attention. Je colle mon visage contre la vitre. Une fan est à terre. Elle tremble. Des adultes, peut-être ses parents tentent de la réanimer. Ce que je vois est surréaliste, oui, le sang coule. De l'hémoglobine coule des oreilles "des parents". Oh mon Dieu. Sous la pression des hurlements de milliers de fans, leurs tympans littéralement ont éclatés. Quelle horreur. Les parents se tiennent la tête. Agenouillés, ils crient vers le ciel. Ils se relèvent et tentent de fuir. Dans leur hâte, ils ne font plus attention à rien. Ils sprintent. C'est à ce moment qu'un autre drame subvint. Leur tête éclata. Ils avaient découverts leurs oreilles. Je restait la bouche grande ouverte. Mon souffle fit apparaître de la buée sur la vitre. Horrifié, je dis.

- Bon sang. Je ne peux pas y aller. Ce serait du suicide. Flitkov, vous entendez. Ce serait un putain de suicide !


Il tourna la tête vers moi. Sûr de lui, il fouilla sa portière et me lança un petit paquet. Je le saisis. Je l'ouvris pour en sortir des Boule-Quiès. Elles avaient une couleur verdâtre. Elles suintaient. Il se mit à rire. 

- JE AVOIR DEJA UTILISE QUAND JE DECOUPE DES GENS AVEC TRONCONNE. CETRE MIEUX QUE FINIR OREILLE ECLATEES NON ?

Ils avaient raison. Nous étions arrivés à la destianation finale. Religieusement, je plaçais les boules dans mes oreilles. Je descendis de la voiture. C'était un NO-ADULTS LAND. J'étais entouré de pisseuses et de quelques jeunes efféminés. J'étais un peu hilare. N'entendant plus rien. Je me voyais entourés de poissons entrain de crever, vous savez, des poissons hors du bocaux sautillant comme des dingues, lutant contre leur funeste sort. Incroyable, j'étais entourés de groupies dont le rêve est de copuler avec Pattinson. Ça me faisait froid dans le dos. Tout à coup, je reçus une canette sur le bas du crane. Je me retournas. 

Des adultes (parents sans doutes) assis dans leur voiture me foudroyait du regard. Le père passa sa tête par la fenêtre. Le poing en l'air, il avait l'air furieux contre moi. Je n'entendais rien. Je ne comprenais pas réellement ce qu'il me voulait. Je repris ma place initiale. Devant moi, je vis quelques fillettes me pointer du doigt. Elles avaient l'air dégoutées par ma présence. Je cogitais en me palpant les lèvres. Oui, oui, oui. Je suis le seul adulte. Ils doivent me prendre pour un pervers en manque de gamine. C'est ça. Un pédophile ! A la bonheur. Ils ne seront pas les seuls à me faire chier. Pris d'une envie pressante, je quittais la file pour vite me rendre aux toilettes. Sur le chemin, je croisais un groupe de décervelées assises religieusement devant le poster du film. 



Ma prostate me jouant parfois des tours, je dû assouvir mes besoins dans l'immédiat. Je couru vers le mur pour me lâcher sur le poster. Ce fut un double plaisir ! J'avais pissé sur l'effigie de l'œuvre sacrée des pisseuses. Pur moment de bonheur. Soulagé, je me retourna. Il n'y avait plus personne. Je remontais vers l'entrée. Les salles de projection étaient ouvertes. Je tendis un billet à l'hôtesse d'accueil. Elle le refusa. Dans une grande confusion, je lui demanda pourquoi. Elle pointa son doigt vers l'affiche. Je découvris le signe "Interdit au plus de 14 ans". Hors de moi, je lui mis un coup de coude au visage. Ma déception fut grande. Toutes ces épreuves pour rien. 

Tête baissée, je regagnais la voiture. Totalement désemparé, je découvris que mes chaussures étaient percées. Tout comme les bords de mon pantalon, d'ailleurs. Je jeta un coup d'œil sur ma braguette. Rien. Je retira mes Boules-Quiès. Des sons d'éclaboussures réveillèrent mes tympans. Je regardas le tapis de sol à nouveau. Il était trempé. Argh, c'était dégueulasse.


Putain de pisseuses !




Le lynchage médiatique ou la petitesse de l'être décadant.

Qu'il est facile de s'attaquer à une proie toute désignée.

Qu'il est facile de lancer des pics, des blagues sordides, des jeux de mots à l'encontre d'un personnage médiatique en pleine descente aux enfers.

Pour faire rire votre assemblée de décérébrés nourrie de publicités en tout genre. Vous vous appuyez à pleines mains sur la tête d'une personne au fond du trou. 

Pas de panique. Quoi qu'on le fasse, on a toujours un publique.

Oui.

Vos décérébrés réutiliseront vos héroïques interventions dans leur microcosme. Cela leur donnera l'illusion d'être grand.

Un peu comme vous.

Vous, qui êtes prêt à tout pour faire rire votre assemblée et booster votre carrière.

Vous, qui êtes plutôt prêt du rien.

De telles attaques reviennent à écraser un insecte virtuel à moitié groggy par de l'insecticide.

Vous me faîtes penser à un amas d'asticots dévorant de la viande putréfiée. Dévorant un être mort, vous grandissez grâce à sa chair putréfiée.

Ô oui, la personne visée a peut-être commis des actes odieux.

Ô que oui, vous l'êtes, vous ! Parfait ! 

Aussi parfaites que sont vos viles apparitions médiatiques à l'odeur d'acides gastriques.

Ô oui, je sais, tout le monde le fait.

Ô oui, je sais, il vous faut de la visibilité.

Ô oui, je sais, il vous faut être buzzer.

Ô oui, je sais, le pognon vous voulez le voir tomber. 

Dans ton canapé. Devant la TV.

Aux heures de grande écoute. Rejoins les égouts du dégout.

Crache avec eux dans la soupe de la déroute.

Pour qu'enfin, "la gloire" t'enlace de ses bras visqueux.

Pour qu'enfin, tu deviennes comme eux.




Le Montishow est-il devenu un être de rancœur au point de ne créer que des textes de vandales ? Serait-il devenu ce genre d'individu aigris. Non. Enfin, pas entièrement, je te rassure. La suite arrive bientôt avec l'épopée médicale ou un autre putain de truc de merde.

Enflurement tienne, le Montishow

L'épopée médicale "5ème Partie"

La prison mentale est pire que la prison physique. J'aurais tendance à ne plus le croire. Depuis le temps que je suis bloqué en Russie, j'ai comme la bizarre impression de n'être plus qu'une marchandise. Passer d'une cabane à une sorte de prison. C'est un peu comme passer d'un magasin à un autre. Le produit ne se vend pas là. On va essayer ailleurs. Qu'a-t-on à perdre ? Dans mon cas, ce serait la vie...


Je pourrissais dans cette cellule. Je pensais à mon aventure avec Flitkova. Enfin, mésaventure serait plus à proprié. Je me revoyais entrain de me faire latter la tronche. Je revivais la scène. Son petit sourire mesquin m'avait excité. Elle prenait plaisir à me donne des coups. Je tenterais bien de lui en mettre d'une autre façon, si j'en avais l'occasion. Elle avait ce qu'il fallait, là ou il fallait. Nous étions partis sur de mauvaises bases. Le plan à élaborer était simple. J'écris le bouquin. Je te fais une histoires d'Heroic-Fantasy pas trop compliquée avec des sorciers, des vampires et une fin heureuse à l'américaine. J'asperge les pages à l'eau de rose. Toutes les gamines se jettent dessus. J'en vends des tonnes. Je deviens riche. Flitkov aussi. Heureux, il me libère. Flitkova, elle, tombe sous mon charme financier. Et je la tartine dans tous les sens. Ouais, je suis trop un putain de génie.


Freud pouvait être fier de moi. Je contrôlais mon inconscience avec grande habileté.

Avant d'écrire ce bouquin, il fallait un manuscrit vierge ainsi qu'un stylo. Je tapotais donc sur la porte de manière vive en criant.

"L'enflure de garde, t'aurais pas du matos d'écrivain pour moi."

Aucune réponse.

" Allez quoi, je t'emmerderai pas. Je suis pas un putain de musicos. Je te casserai pas les oreilles en chantant du Goldman, ou ce genre de chansons d'enfoirés. Faut que j'écrive là. Tu voudrais pas me faire rater un top-coup."

Toujours rien.

"Connard ! "

La porte s'ouvrit. Un type chauve, fort blanc, habillé d'un costume noir et d'un brassard rouge apparut avec la lumière artificielle. J'étais ébloui, je mis le coude devant le visage.

" Mec, j'ai jamais voulu t'insulter. Tu m'en veux pas, hein !? C'était pour déconner. Ouais, je voulais juste un bic pour me suicider, rien de plus. Tu vas rien me faire, hein !?"

Il me fixa. Me regarda de haut en bas. Le regard était assassin. Le dédain qu'il avait à mon égard lui tordit les lèvres. Les baffles recrachaient à nouveau du son. Le gardien changea d'attitude. D'un seul coup, il se décontractait. Il entama un Kalinka.. Cette musique Russe envoutante rendait la situation encore plus irréelle. Il m'invita à danser avec lui. Je fis non d'un geste de la main. Il me répondit.

"Danse ou meurt."

Il m'avait convaincu. Ma décision était prise. J'acceptais. Je me joignis à lui et l'accompagnais dans une danse débridée. Un ours noir faisant des cabrioles ainsi que des danseurs entrèrent en trombe dans la cellule. Je me déhanchais dans les cris et l'euphorie du moment. Main dans la main, nous tournâmes ensemble autour de l'ours en sautant frénétiquement. Les cris de joie se mélangeaient magistralement à l'entrainante mélodie. Petit à petit, la musique s'emballait. Surexcité, je fis une pirouette aux côtés de l'ours. Lui donnant sans le vouloir un coup de pied retourné en pleine face. Sous l'emprise de la musique, personne ne l'avait remarquer. Mieux encore, nous nous mîmes à piétiner l'ours. Les craquement d'os suivaient en rythme la musique. Crak, crik, crok. Crik, crak, crok. Les couinement de l'ours me faisaient penser au son des jouets pour chien. Tandis que les spittes de sang me rappelaient les casseroles surchargées de sauce tomate en pleine ébullition.


Quel folklore, qu'est-ce qu'on s'était marrer ce jour-là.


Finalement, la prison ça avait aussi du bon...