La glorieuse incertitude d'écrire sur un blog sous la contrainte de mafieux en Russie

J'ai, comme qui dirait, un peu trop espérer en voulant me barrer de ce sordide trou à rats qu'est ma cabane russe. A peine sorti de la forêt, je me suis retrouvé avec le KGB au fessier. J'aurais soit-disant trempé dans une affaire de cocaïne coupée avec du papier-bulle servant à protéger des jouets en plastique, interdits à la vente car chimiquement dangereux. Tout cela, était, comme tu t'en doutes, orchestré par la terrible famille Flitkov.

Les agents secrets ont tenté de me soustraire des informations avec violence. Sous sérum de vérité, je leur ai expliqué mes folles aventures, narrées avec brio ici-même, sur ce blog d'une classe inter-régionale. Ils m'ont pris pour un sacré débile de taré, m'ont botté le train arrière en me disant de retourner de là où je venais. Je leur ai dit que non, je ne voulais pas y retourner dans cette cabane déprimante. Ils m'ont rétorqué que c'était la forêt ou un travail de redressement dans un monastère producteur de fromage de chèvres.

Étant allergique au lactose. J'ai opté pour la première solution. Et pour ne rien cacher, j'avais de grosses incertitudes quant à la signification de "travail de redressement". Dans un monastère, cela me paraissait plutôt louche. 





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Attention à toi, les écureuils qui disent des conneries. Je les bouffe comme des chips bien croquants !